Hugo est en pleine forme

Comme à son habitude, notre petit garçon de deux ans (« deux ya » comme il dit, en montrant ses doigts) déborde d’énergie. Il nous offre nos meilleurs fous-rires mais aussi nos pires frayeurs (je l’ai perdu deux minutes dans un magasin la semaine dernière, et un jour il a failli monter dans un ascenseur tout seul au centre commercial). Il faut le surveiller sans cesse car il ne reste pas en place et l’obéissance est un concept encore vague…

À côté de ça, toujours beaucoup d’émotions à gérer et ce n’est pas simple !

Il est toujours très très affectueux envers les autres enfants, voire trop. Il lui arrive par exemple de leur courir après en criant (et parfois en pleurant) « biyou !!! », frustré parce qu’ils ne veulent pas se faire embrasser. Il déborde d’affection mais certains n’aiment pas ça, et c’est dur à comprendre pour lui. Il a aussi grandi et ne mesure pas sa force, alors bien souvent ses câlins sont trop forts, ses mains serrent le cou et produisent l’effet inverse de ce qu’il voulait… pas évident de lui faire comprendre d’y aller doucement.

Heureusement, la plupart du temps les enfants sont très réceptifs et c’est trop mignon à voir. Ce que je trouve adorable par-dessus tout, c’est quand il voit un enfant pleurer et qu’il va l’embrasser spontanément pour le réconforter.

Outre ce côté affectueux très prononcé, il y a aussi son langage qui monte en flèche, même s’il reste encore incompréhensible pour la plupart des gens. Je pense pouvoir dire que le mot qu’il dit le plus est « anoné » (pour « donner »). Mais il sait désormais qu’il ne doit pas réclamer et qu’il doit dire s’il te plaît. Alors parfois j’entends de timides « pépépé mama… » 🙂

Et, bien sûr, il dit toujours son fameux « papapi tchaaa ! » (« c’est pas possible ça ! ») – c’est quasiment devenu culte 🙂